Aller au contenu

Gouverner l’empire carolingien : entre centralisation et fidélités [2/3]

À la tête d’un empire immense, les Carolingiens ont dû inventer des modes de gouvernement conciliant pouvoir central et réseaux locaux. Institutions, aristocratie et idéologie chrétienne ont façonné cet équilibre fragile.
Christophe Dickès
Publié le 01/09/2025

Faites un don et recevez un cadeau : http://don.storiavoce.com/

Diriger un empire aussi vaste que l’Occident carolingien relevait d’un défi constant. Les comtes, les missi dominici et les assemblées incarnaient un pouvoir partagé entre centre et périphérie, tandis que les liens d’aristocratie et de fidélité assuraient – ou fragilisaient – la cohésion. L’unification du droit et de l’administration, portée par une idéologie royale d’inspiration chrétienne, traduisait l’ambition d’un pouvoir impérial fort. Dans ce deuxième volet des Cours d’Histoire, Warren Pezé éclaire les pratiques concrètes du gouvernement carolingien.

***

Facebook : https://www.facebook.com/HistoireEtCivilisationsMag

Instagram : https://www.instagram.com/histoireetcivilisations/

Twitter : https://twitter.com/Storiavoce


Nous écouter