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Le pouvoir impérial à Rome : une monarchie qui ne dit pas son nom ? [3/3]

Dans ce troisième volet de notre série consacrée au pouvoir impérial, Stéphane Benoist s'arrête sur la figure impériale, ses prérogatives et la réalité de son pouvoir.
Christophe Dickès
Publié le 11/01/2021

[Le pouvoir à Rome 3/3] Auteur d’un ouvrage consacré au pouvoir à Rome, l’historien Stéphane Benoist entame ici le troisième volet de nos [Cours d’Histoire] consacrés à la trilogie : l’espace du pouvoir, le temps du pouvoir et les figures du pouvoir. 

  1. Peut-on utiliser l’expression de « métier » d’empereur ?
  2. Quelle est la dimension de la magistrature dans ce pouvoir impérial ?
  3. Est-ce qu’il existe un modèle augustéen du pouvoir ?
  4. Le pouvoir impérial est-il une monarchie qui ne dit pas son nom ?
  5. La figure impériale était-elle autocrate ou monarque absolu ?
  6. Quelle est la place de la mémoire dans la représentation du pouvoir ?

Notre invité : Stéphane Benoist est professeur d’histoire romaine à l’Université de Lille III et fut directeur de l’équipe HALMA (UMR8164) de 2015 à 2019. Il est entre l’auteur de Rome. Des origines au VIe siècle de notre ère, « Une histoire personnelle » (Puf, 2016) et de Le pouvoir à Rome (CNRS Editions, 336 pages, 25 €).

 
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